Le coin des Morses
Ce mois ci, je sens la paresse me gagner. Je n’ai pas vraiment le courage d’écrire une histoire et de penser à des bons mots un peu vaseux. Il faut dire que nous avons mis quatre jours pour arriver au sommet (5.109 mètres quand même) et trois pour redescendre. Aussi je vous envoie l’histoire de mon camarade Peter Martell, journaliste à l’AFP, s’il vous plait. Cela vous changera d’un travail d’amateur ! Ce mois ci, je sens la paresse me gagner. Je n'ai pas vraiment le courage d'écrire une histoire et de penser à des bons mots un peu vaseux. Il faut dire que nous avons mis quatre jours pour arriver au sommet (5.109 mètres quand même) et trois pour redescendre.Aussi je vous envoie l'histoire de mon camarade Peter Martell, journaliste à l'AFP, s'il vous plait. Cela vous changera d'un travail d'amateur ! |
A l’inverse du pastis où le glaçon doit tomber dans le verre, le but du jeu est d’éviter de tomber dans le glaçon. Plus difficile ! |
De Peter MARTELL « Montagnes du Rwenzori — Sous une neige tourbillonnante, John Medenge perce du bout d'une lance une fine couche de neige recouvrant une crevasse, guidant un groupe de grimpeurs vers le sommet abrupte du Mont Stanley. "Nous sommes parmi les derniers à grimper sur la glace, ça va tellement vite", dit-il après avoir escaladé la dangereuse crête de cette montagne de la chaîne du Rwenzori, à cheval entre l'Ouganda et la République démocratique du Congo (RDC). Avec ses 5.109 m, le Mont Stanley est la troisième plus haute montagne d'Afrique, derrière le mont Kenya et le mythique Kilimandjaro tanzanien. Mais, comme pour le mont Kenya et le Kilimandjaro, les experts mettent aujourd'hui en garde contre la fonte des neiges qui le frappe, à une vitesse alarmante. Selon eux, dans deux décennies, les pics africains, où neige et glace déjà se raréfient, ne seront plus que rocs. - La source du Nil blanc - "Tous les ans, la glace diminue", dit encore John Medenge. Ce guide aujourd'hui âgé de 54 ans grimpe le Mont Stanley depuis l'adolescence. L'astronome et géographe grec Ptolémée est le premier à avoir, dès le IIe siècle, écrit sur le Rwenzori. Il avait alors identifié ces "Montagnes de la lune" comme la source du majestueux Nil blanc. Si des siècles durant, chaque génération a pu admirer le manteau de neige qui les recouvrait, la fonte est aujourd'hui bien réelle, et a des conséquences plus graves que la seule banalisation du spectacle. "La fonte des glaciers est un autre avertissement, un +canari dans la mine+, de l'incapacité de l'humanité à limiter les dégâts du changement climatique", estime Luc Hardy de Pax Arctica, une organisation de sensibilisation au changement climatique qui a mené une expédition dans le massif en janvier. "La fonte de ce glacier africain unique constitue une importante menace pour les communautés locales, puisqu'elle entraîne une évidente réduction des eaux renouvelables", poursuit l'explorateur franco-américain, par ailleurs vice-président de l'ONG écologiste Green Cross (Croix-Verte). Le phénomène nuit déjà à l'agriculture et à la production hydroélectrique, pointe Richard Atugonza, du centre des ressources de la montagne à l'université ougandaise de Makerere, dans la capitale Kampala. "Cela peut devenir un gros problème à l'avenir pour la région, les rivières changent déjà". Situé à quelques km seulement de l'équateur, le Rwenzori, souvent perdu dans la brume, s'étend sur environ un km2 et comprend quelques autres glaciers, qui pour la plupart ne sont plus aussi recouverts que d'une minuscule calotte de glace. L'explorateur américano-britannique Henry Morton Stanley fut lui le premier Occidental à découvrir ces glaciers en 1889. A l'époque, la glace recouvrait le sommet du mont qui porte désormais son nom sur sept km2. Aujourd'hui, il n'en reste plus qu'un petit km2. - Les dieux à la rescousse - Dans le but de préserver les neiges, le roi des Bakonzo, la tribu qui peuple la région, envoie régulièrement des chefs locaux sacrifier des poulets et des chèvres aux pieds des montagnes du Rwenzori pour apaiser les dieux qui vivent sur les crêtes. "Le réchauffement climatique n'est pas provoqué par les gens ici, mais il nous fait du mal", dénonce Baluku Stanley, président d'une des principales compagnies de trekking locales. "Bien sûr, quand il n'y aura plus de neige, cela affectera le tourisme, même si les randonnées dans la vallée sont incroyables". |
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Uniquement aux Rwenzoris |
Ces vallées abritent en effet une végétation digne de contes de fées, faite d'arbres tarabiscotés enveloppés dans des manteaux de lichen vert fluorescent mais aussi de lobélies et de bruyères hautes de cinq mètres. Une végétation qui permet aux éléphants, léopards et autres chimpanzés de se cacher tandis que plus haut en altitude, virevoltent des oiseaux bariolés. Pour l'heure cependant, les grimpeurs cherchent encore à se frayer des chemins jusqu'aux pics. L'exercice est de plus en plus périlleux, car la fonte des neiges a rendu impraticables certaines pistes, où des échelles rouillées pendent désormais dangereusement dans les airs. "Les Rwenzoris sont parmi les glaciers les plus excitants que j'ai grimpés, qui rivalisent avec les pics d'Europe et d'Amérique latine", estime cependant encore Paul Drawbridge, un Britannique de 34 ans parti pendant huit jours à l'assaut du Mont Stanley. "C'est tellement dommage de penser que les enfants que j'aurai peut-être à l'avenir ne verront jamais ces pics enneigés". |
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- Écrit par : Rémy Fritsch
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Un samedi chez les Morses.
Les samedis se suivent avec leurs sorties plongées, aujourd’hui c’était la pierre de Cassis, avec ses palanquées dont une: avec notre Martine Nationale, fut dure à composer. Car photographe de talent équipée d’un matériel professionnel, lui demandant de nombreux réglages pour faire une photo, donc des arrêts plus long sur le sujet. Il y a aussi un certain Gilles qui à fait un émule en la personne de Serge, qui à naturellement oublié sa cagoule, d’où il a tenu compagnie à Bernard notre pilote chevronné, tandis que nos autres Morses ont pu admirer deux Saint-Pierre, la faune et flore de la pierre à cassis par une eau à 13°. | |
A terre restaient Myriam, Christian et Jean-Claude, pour aller réparer le décanteur du Barracuda 2 sur le glacis du petit port de la calanque de Callelongue. Après avoir démonté l’objet en question et l’avoir amené au club pour y faire une radioscopie. | |
Démontage et nettoyage du décanteur, démontage de la tête ce qui ne fut pas une chose facile. Nous avons découvert que la Mer et la rouille avaient fait leur ouvrage, le corps du filtre qui est en fer était tout mité par la rouille d’où obligation de le changer. |
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Enfin un samedi ensoleillé, mer plate et vent absent. Les morses se préparent dans l’attente de l’arrivée du "Suscle 2" notre bateau, aux commandes, notre pilote hors pair Bernard. Gros problème le trousseau de clefs avec la manille est introuvable, d’où impossibilité d’ouvrir le local compresseur, heureusement que Lucien lui possédait la clef compresseur. Bref, nous voilà embarqués pour aller faire une plongée sur l’impérial de terre qui pour moi est une des plus belles plongées du coin. |
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Les palanquées sont formées, me voici avec Martine (journée de la femme oblige) et Guy, tous les deux photographes. L’eau à 13°, courant de surface assez fort, eau plutôt chargée en particules, descente sur le mouillage en direction du passage qui mène à la première grotte, toujours autant de gorgones, le corail à envahi le plafond, la vie est nombreuse: Sars, Rougets, Labres, Mostelles, Murènes, etc. Nos appareils photos crépitent, sauf celui de Martine qui a un problème de batterie, pas de chance. |
37 minutes après le froid se faisant sentir, je décide de rentrer, après leur avoir signalé que je remontais et qu’ils pouvaient continuer sans moi.
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Comme toujours cette sortie s’est terminée par un apéritif convivial pris ensemble sur la terrasse du club, le repas grillades et les discussions hautement philosophiques. |
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Ce samedi 2° journée de travail et TIV. Aux commandes des TIV Marc et Jean-Michel qui avait amené un endoscope relié à un ordinateur, pour voir l’intérieur des bouteilles de plongée dans leur moindre détail. (Presque une coloscopie à hôpital) Bruno, Didier, Guy et moi même au démontage et nettoyage des bouteilles aidés par Jean-Pierre, pour le nettoyage extérieur avec une brosse métallique montée sur la perceuse. |
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Lucien lui était au pinceau ou plutôt au rouleau de peinture, avec Morgane et Myriam, pour passer la première couche de peinture blanche sur le portail qui le samedi précédent avait reçu une couche d’antirouille, après un puissant nettoyage à la brosse métallique. Et tout cela jusqu’à 17 h en espérant que samedi prochain nous aurons plus de volontaires pour finir tous ces travaux. |
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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La mer étant déchaînée et suite à une lettre recommandée de notre bailleur, nous signalant l’état de rouille du portail, nous avons décidé d’attaquer le portail de front. Après avoir sorti le son rail le grand portail, nous avons attaqué la rouille qui en avait pris possession. |
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Myriam et Morgane, ont commencé un rangement et nettoyage de la cuisine, tandis que Marc s’occupait des visites annuelles des bouteilles de plongée et du remplacement des filtres des compresseurs. | |
Trois de nos valeureux Morses, dont Martine et son éternel "218" Guy, avaient pris comme modèle Eric, sont allés faire un tour du coté de l'ancre la plus célèbre du monde | |
Après le repas pris ensemble, chacun d'entre nous ont eu raison de cette rouille, qui avec une brosse à la main, ou un pinceau étalant l'antirouille, dans l'attente de la couche finale de peinture, qui aura lieu samedi prochain, avec toutes les bonnes volontés qui seront présentes. | |
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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