Le coin des Morses
41° Festival Mondial de l’Image Sous-marine.
Ce 41° Festival, dédié à l'océan est l'avenir de l'Homme!. Il s’est déroulé du 30 octobre au 2 novembre dans l’enceinte du parc Chanot, comme les années précédentes.
Les morses de la section plongée de Marseille Sports, y étaient représentés par: Lucien, Marc, Jean-Mmichel et mes zigues, rejoints pour la soirée d’inauguration par Geneviève et Patrick le Président de la section randonnée.
A noter que pour cette ouverture le clip de René Heuzet "La nuit des Géants" accompagné par la merveilleuse voix de son épouse chanteuse lyrique soprano "Yuhkimi Yamamoto", suivit d’un reportage de 96’ de "Rémy Tézier" une enquête sur l’attaque des requins bouledogues, à la Réunion, qui a duré 2 ans et qui apporte quelques pistes de réponses à ce phénomène épisodique.
L’apéritif dinatoire, d’inauguration a été animé par un quintette, mi jazz, mi rock où j’ai fait quelques rocks endiablés avec la responsable de l’association Terre mer "Isabelle Poitou".
Nombreux stands à noter celui de HSD (Histoire Développement Subaquatique) où notre chef cuistot y tenait une permanence et le soir venait nous rejoindre au club de "Callelongue" pour y dormir.
Une exposition du musée d’Espalion, a retenu mon attention avec son fameux Scaphandre Rouquayrol-Denayrouze datant de 1864 sans compter celui de klingert de 1715 et le dernier sorti Gandolfi pour la nouvelle aventure spatiale.
J’allais oublier la remise du Pin's de la fédération suisse de plongée que j’ai reçu des mains du Président, un grand moment.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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L’île de Terschenlling se trouve au nord de la Hollande, d’une longueur de 28 km et 4 km dans sa largeur la plus grande, comptant environ 4200 habitants qui se repartissent en 6 villages.
Nous trouvons sur cette îles plusieurs musées, dont un est le "WRAKKEN MUSEUM" créé par Hille VAN DIEREN en 1978 il avait alors 28 ans.
Créateur du club de plongée "Ecador", il a pu accumuler pendant ses plongées de nombreuses découvertes sous-marines allant de la simple bouteille en verre au kiosque de sous-marin, bref comme vous pourrez le découvrir sur ces photos.
J'y ai même retrouvé l'antre de Callelongue
Tout cela avec leur bateau de plongée "URSUS 2" plutôt un bateau de travaux maritimes, avec lequel ils ont pu remonter des pièces de canons de tous les époques et autres découvertes toutes aussi dantesques que fantasmagoriques.
Voilà, c’est ce que je voulais vous faire partager.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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En ce 3° samedi d’octobre digne d’un mois d’août, nous voilà embarqués sur notre "Barracuda 2" direction le Briançon, son arche et sa grotte arc en ciel,
Arrivée sur le site la clarté de l’eau étant très mauvaise, Marc notre pilote et DP décide d’aller sur las Moyadons, là aussi eau très chargée et un fort courant d’est. Après concertation, nous décidons d’aller nous mettre à l’abri dans la calanque des Contrebandiers et y trouver une eau plus claire car à le courant y est nul.
Dans une eau à 22° une visibilité moyenne, Marc, Martine, Sami, Lucien, Christian, Mario, Gilles et moi, nous voici partis pour une plongée dans cette calanque au passé mythique.
Dès notre immersion , nous croisons de nombreux sars de belle taille, rougets, daurades, saupes, un à deux jeunes mérous, murènes, des labres de différentes espèces et pour finir notre plongée sur le fond de la calanque par une profondeur de 3 mètres.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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Nous étions cinq voitures à nous rendre au special campsite de Ndovu dans le Mara Triangle. Dommage, nous n'étions pas tous là en même temps car le camping était incroyable: beaucoup d'ombre près d'une la rivière, plus que suffisant pour nous tous et les dizaines d'hippopotames et de crocodiles aussi. C'était tout un défi pour mes amis venant tout droit de France pour une première expérience de camping. Les hippopotames étaient si bruyants que par comparaison le baryton Luciano Pavarotti semble avoir une voix de bébé. Les Lions rugissaient dès la nuit tombée et se répondaient de chaque côté de la rivière. Et bien sûr, les hyènes riaient à gorges déployées, mais ne semblaient pas si drôles si près ou sur les photos du piège photographique placé la nuit au milieu du camp.
Pire quel les catalans en août : il reste une place pour votre serviette au milieu
Nous avons réussi à grimper l'escarpement qui délimite la rift valley avec un ranger! La vue était vraiment étonnante de la crête et nous avons rencontré très sympathique Masaï qui nous a vendu une chèvre et quelques bijoux (ou plutôt un coffre à bijoux et une chèvre). Et nous avons du la porter à la voiture, au pied de l'escarpement sur nos épaules. Je peux vous dire pour l’avoir essayé que c’est autrement plus dur à porter qu’un sac à dos : au moins vous n'avez pas à tout moment à tenir votre sac à dos comme s’il y allait de votre vie, avec la peur qu'il saute de vos épaules et de s'enfuie en bêlant. Le méchoui (on dit Nyama Choma au Kenya) était un grand moment. Même si nous avons du le faire à l'heure du déjeuner par crainte de la pluie du soir et surtout des prédateurs nocturnes. Et il nous a fallu brûler les os en cendres.
Une nouvelle mode: la randonnée avec une chèvre en guise de sac à dos
Nous n'avions certainement pas envie de voir entre les tentes le même spectacle que de l'autre côté de la rivière, à savoir des crocos déchirant une carcasse de gnous. Oui, c'est bien arrivé: un crocodile de grande taille mordre dans l'estomac d'une carcasse flottante et tourner sur lui-même pour arracher un morceau. Brrr. A glacer le sang. Et l'action ne s'est pas arrêtée là: le tumulte ayant alerté un hippopotame qui accourut passablement irrité pour chasser les crocos et mordre la carcasse. Autant pour l’hippopotame végétarien: méfiez-vous la prochaine fois qu’après vous avoir piétiné, il ne vous arrache pas la tête!
Malheureusement, je ne vais pas vous parler de la traversée de la rivière Mara par les gnous, puisque je l'ai ratée pour sauver des camarades embourbés dans une rivière bouseuse à souhait. Pauvre de moi, ma seule vengeance sera de publier leur photo les pieds boueux, je crois qu’ils me doivent encore quelques bières ...
Camarades du Mountain club tentant une traversée de rivière comme les gnous
Mais je peux vous dire avec certitude que les gnous étaient beaucoup trop nombreux pour être comptés! Ils couvraient collines après collines sur plus 20 km. Incroyable. C’est ce qui m'a incité à casser ma tirelire et faire le vol en ballon. Quelle expérience : flotter au lever du soleil au gré du vent entre 10 et 300 mètres. À partir de cette altitude seulement, il est possible d’entrevoir l'ampleur de la grande migration.
Dommage que personne ne soit venu de Marseille pour partager ce moment avec moi. Mais faites-moi savoir si vous êtes tentés pour l'année prochaine. Les réservations du camp se font un an à l'avance. Donc pensez-y rapidement!
Vous pouvez toujours commencer à compter maintenant
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- Écrit par : Rémi Fritsch
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En ce samedi 27 septembre, me voici embarqué sur notre "Barracuda2", en compagnie de: Michelle, Bruno, Didier, Guy et notre pilote et DP Marc.
Direction "Planier", après avoir jeté une palanquée de trois de nos Morses, nous rejoignons le quai de débarquement du phare, pour y jeter l’ancre sur le site de plongée du Dalton.
Dès notre ancrage, nous sommes cernés par une multitude de Méduses du type "Pélagia noctiluca".
Je suis le premier à me mettre à l’eau, cela est impressionnant une nuée de méduses blanchâtres (dont leur traine fines de mariée atteignent 1 mètre à 1,5 mètre) m’entoure, tout ca dans une eau claire et une température de 23°.
Je descends sur deux belles moules nacre où mes deux équipiers me rejoignent pour nous diriger sur l’épave du "Dalton" (Dans la nuit du 18 au 19 février 1928, le Dalton, en provenance de Grèce, approche de Marseille. Il transporte 1.500 tonnes de plomb. La brume est si dense, que l’équipage n’aperçoit pas la lueur du phare de l’île du Planier portant à 37 milles!!! Soudain le navire est stoppé brutalement. Il a heurté le rocher du Souquet. Sa coque est déchirée, et l’eau s’engouffre à gros bouillons dans les cales. Malgré toutes les tentatives de l’équipage pour le dégager, il sombre, coupé en deux. Quarante cinq minutes seulement se sont écoulées depuis le choc. La totalité de l’équipage est recueillie par les gardiens du phare du Planier). Le Dalton a été durant la guerre, en 1943, année de ma naissance, la vedette du film "Epave" avec Cousteau, Taillez et Dumas.
L’épave est devenue le repaire des plusieurs Mérous, d’une compagnie de Rougets de belle taille, un beau Denti hante les lieux, les Sars et les daurades sont au rendez-vous, bref un faune abondante et variée sans oublier les méduses toujours de plus en plus nombreuses.
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Après 50 minutes de plongée inoubliable, nous voici de retour sur notre embarcation où les morses de la première palanquée, que nous avions lâchés sur le Messerschmitt nous attendaient
Suite à cette sortie nous sommes de retour à notre base de Callelongue, pour le traditionnel apéritif, les discussions philosophiques, avec un petit plus après le repas pris sur notre terrasse: l’arrivée de deux gâteaux amenés par Stéphanie sur un air happy- birthday, (repris en cœur avec tous les Morses) fait avec amour pour sa fille Margot qui fête ses 14 ans.
Photos: Marc Morand, Guy Milano et Jean Claude Eugène.
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- Écrit par : Jean-Claude Eugene
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